Synopsis
À l’instant du heurt (la pointe du fleuret touchant le corps de l’adversaire), le feu d’artifice s’éploie comme si le contact s’établissait — explosion, mode épidémique de contamination par piqûres successives. Au toucher du fleuret répond l’embrasement du ciel. L’attaque est un éclair qui embrase la collure. “ Attaquer peu souvent, toujours par surprise ou par ébranlement ” nous enseignent les manuels d’escrime. L’émotion obéit-elle à une impulsion mécanique ?