Focus #4 - « Fog makes revolt possible »

Entre détournement et hacking biométrique, les films de cette séance brouillent les pistes de la surveillance individuelle en tentant de faire des visages - ou de leur absence - nos armes.

 

C’est dans le silence d’une inspection clinique des banlieues contemporaines à celle de l’observation des cycles menstruels à travers le téléphone, que se dessine un nouveau genre de film horrifique ou le contrôle est total. 

 

Ils témoignent aussi de cette normalisation stagnante de la surveillance collective, un piège étatique qui alimente une peur protéiforme et sans visage de « l’autre ». 

 

En Selfie le corps est aussi sondé, mais la filature peut s’inverser ! Si « No one is safe in a police state » essayons encore d’infiltrer ces technologies pour déjouer les regards qui nous quadrillent.

 

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