Shown in Filmmakers 15-17.9.
Synopsis
An almost empty kitchen, but where the different elements meet and interact progressively in a domino effect to reveal a story…
Documentation
D’où vous est venu l’idée/l’envie de ce film ?
Depuis le début de l’épidémie, comme beaucoup j’ai passé une grande partie du temps dans monappartement, ce qui m’a inspiré tout d’abord est le thème de l’enfermement, physique et sur sois même. Pour la forme du film, qui est une des raisons principales de la création du projet, m’est venu quand uncourant d’air à fermé tout les portes et fenêtres d’un seul coup, ainsi les rideaux ont bougées, les serviettes sur la tables sont tombées, alors j’avais vus un grand potentiel dans cette effet domino qui pouvait à lui seul produire à une grande tension et accompagner un scénario.
Pouvez-vous nous en dire plus sur la façon dont vous l’avez réalisé (comment, avec qui, avec quel matériel, dans quel lieu) ?
Après 1 mois de préparations intensifs, j’ai profité des semaines de confinement en Novembre 2020 pour planifier les tournages sur une semaine. Ces derniers n’était pas très longs ni compliqués, et si ils étaient, j’avais tout mon temps et mes moyens car tout à était tourné dans ma propre cuisine, où d’ailleurs j’ai profité pour tester des plans la veille, pour choisir la composition exacte et m’entraîner sur des mouvements. Et comme tout le court métrage se base sur l’absence du personnage et donc joue sur ce qu’il entoure, j’ai pus être entièrement seul, sauf à la participation elliptique d’un amis pour jouer le personnage du film. Les gros plans me permettais fortement d’avoir cette indépendance d’une équipe technique, car gérer cette valeur du cadre était plus facile, mais aussi demande une plus grande réflexion pour le rendre intéressant, ça ajoute aussi l’intérêt qu’on peux porter au film, qui est composé aux trois quarts de gros plans, qui petit à petit font découvrir le lieu et donc l’histoire. De plus le son était enregistré en post-production, afin de contrôler chaque nuances et avoir un film jouant grandement sur son mixage son. Et j’ai alors gardé seulement avec moi ma caméra entrée de gamme, un petit trépied, et deux soft box dirigé sur le plafond pour créer l’ambiance lumineuse diffuse et tamisé. Après casses, démontages, et inondations de la cuisine, et les fichiers audio enregistrés, le montage vidéo suivais plan par plan le découpage initial, c’était le mixage son qui prenait le plus temps, et enfin pour l’étalonnage j’ai tout de suite voulu avoir cette atmosphère chaude et accueillante d’un matin, car le contraste de celle ci et le sujet du film en plus même de ce qu’ il montre, était intéressant et nouveau, en plus des significations, ne suivant pas la logique d’un film sur la dépression et le suicide avec souvent une lumière froide ou désaturé, qui généralement symbolise dans ces films, la tristesse et le malheurs des personnages, contrairement à Out traitant ce symbole plus subtilement et à sa façon.